2014
La mission divine de Jésus-Christ : le bon Berger
Février 2014


Message des instructrices visiteuses

La mission divine de Jésus-Christ : le bon Berger

Étudiez cette documentation en vous aidant de la prière et cherchez à savoir ce que vous devez transmettre. Comment votre compréhension de la vie et de la mission du Sauveur va-t-elle faire grandir votre foi en lui et faire du bien aux personnes sur qui vous veillez par l’intermédiaire des visites d’enseignement ? Pour plus de renseignements, consultez le site reliefsociety.lds.org.

Foi, famille, secours

Jésus-Christ, le bon Berger, a enseigné :

« Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?

« Je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Luc 15:4, 7).

Quand nous comprenons que Jésus-Christ est le bon Berger, notre désir de suivre son exemple et de servir les gens dans le besoin grandit. Jésus a dit : « Je suis le bon Berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent… Et je donne ma vie pour mes brebis » (Jean 10:13-15). Grâce à l’expiation du Christ, aucun ne nous ne sera jamais à ce point perdu qu’il ne puisse trouver le chemin du retour au foyer (voir Luc 15).

Thomas S. Monson a dit : « Nous avons la responsabilité de prendre soin du troupeau… Puissions-nous nous avancer pour servir1. »

Tiré des Écritures

Psaumes 23 ; Ésaïe 40:11 ; Mosiah 26:21

Tiré de notre histoire

Elizabeth Ann Whitney, qui assista à la première réunion de la Société de Secours, dit en parlant de sa conversion en 1830 : « Aussitôt que j’entendis l’Évangile prêché par les missionnaires, je sus que c’était la voix du bon Berger2. » Elizabeth suivit la voix du bon Berger, et fut baptisée et confirmée.

Nous pouvons nous aussi entendre la voix du bon Berger et faire connaître ses enseignements. Le président Monson a dit : « Nous sommes les mains du Seigneur ici sur terre, avec la mission de servir et d’aider ses enfants3. »

Tout comme un berger part à la recherche d’une brebis perdue, de même les parents peuvent partir à la recherche d’un enfant qui s’est égaré. James E. Faust (1920-2007), deuxième conseiller dans la Première Présidence, a dit : « Aux parents qui ont le cœur brisé, qui ont été justes et diligents et qui ont prié pour instruire leurs enfants désobéissants, nous disons : le bon Berger veille sur eux. Dieu connaît et comprend votre profond chagrin. Il y a de l’espoir4. »

Notes

  1. Thomas S. Monson, « Foyers célestes, familles éternelles », Le Liahona, juin 2006, p. 70

  2. Elizabeth Ann Whitney, dans Filles dans mon royaume : l’histoire et l’œuvre de la Société de Secours (2011), p. 143.

  3. Thomas S. Monson, « Qu’ai-je fait aujourd’hui pour quelqu’un ? » Le Liahona, novembre 2009, p. 86.

  4. James E. Faust, « Au berger elles sont chères », Le Liahona, mai 2003, p. 68.