Message des instructrices visiteuses
Qualités divines de Jésus-Christ : compatissant et bon
Étudiez cette documentation en vous aidant de la prière et cherchez à savoir ce que vous devez transmettre. Comment votre compréhension des qualités divines du Sauveur va-t-elle faire grandir votre foi en lui et faire du bien aux personnes sur qui vous veillez par l’intermédiaire des visites d’enseignement ? Pour plus de renseignements, consultez le site reliefsociety.lds.org.
Foi, famille, secours
La fille de Jaïrus, tableau de Wilson Ong
« Dans les Écritures, compatir a le sens étymologique de ‘souffrir avec’. Le mot ‘compassion’ exprime la pitié et la miséricorde à l’égard d’autrui1. »
Le président Monson a déclaré : « Jésus nous a donné beaucoup d’exemples de compassion. L’infirme à la piscine de Béthesda, la femme surprise en adultère, la femme au puits de Jacob, la fille de Jaïrus, Lazare, frère de Marie et de Marthe, chacun d’eux était une victime sur la route de Jéricho. Chacun d’eux avait besoin d’aide.
« À l’infirme de Béthesda, Jésus a dit : ‘Lève toi […] prends ton lit, et marche.’ À la femme pécheresse, il a recommandé : ‘Va, et ne pèche plus.’ À celle qui était venue puiser de l’eau, il a donné une source d’eau qui jaillirait jusque dans la vie éternelle. À la fille de Jaïrus qui était morte, il a commandé : ‘Jeune fille, lève-toi, je te le dis.’ À Lazare qui avait été mis au tombeau, il a crié : ‘Lazare, sors !’
« Le Sauveur a toujours fait preuve d’une compassion sans limite. […] Ouvrons la porte de notre cœur, pour qu’il entre, lui, le vivant exemple de la véritable compassion2. »
Écritures supplémentaires
Psaumes 145:8 ; Zacharie 7:9 ; 1 Pierre 3:8 ; Mosiah 15:1, 9 ; 3 Néphi 17:5-7
D’après les Écritures
Linda S. Reeves, deuxième conseillère dans la présidence générale de la Société de Secours, a raconté : « Mon mari et moi étions agenouillés auprès de notre fille de dix-sept ans, suppliant que sa vie soit épargnée. « La réponse a été non ; mais […] Nous avons appris […] que […] [le Sauveur] éprouve de la compassion pour nous lorsque nous sommes dans le chagrin3. »
« L’une de mes histoires préférées de la vie du Sauveur est celle de Lazare. Les Écritures nous disent : ‘Jésus aimait Marthe, […] sa sœur [Marie], et [leur frère] Lazare’4. » Lorsque Lazare est tombé malade, on en a averti Jésus mais, lorsqu’il est arrivé, Lazare était déjà mort. Marie courut à la rencontre de Jésus, tomba à ses pieds et pleura. Lorsqu’il la vit pleurer, Jésus « frémit en son esprit, et […] pleura » (Jean 11:33, 35).
« Voilà notre responsabilité. Nous devons toucher et voir par nous-mêmes et aider tous les enfants de notre Père céleste à toucher, voir et savoir que notre Sauveur a pris sur lui non seulement tous nos péchés mais aussi nos douleurs, nos souffrances et nos afflictions afin de savoir ce que nous éprouvons et comment nous réconforter5. »