Moïse 4 explique comment Lucifer est devenu Satan. Il contient également la description que fait le Seigneur de la chute d’Adam et Ève et de ses conséquences. Moïse 4 est la traduction par Joseph Smith de Genèse 3.
Le Seigneur révèle comment Lucifer est devenu Satan
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manteau
Montrez un manteau ou dessinez-en un au tableau.
Pourquoi porterait-on un manteau si le temps n’est ni froid ni pluvieux ?
Faites remarquer que porter un manteau est une solution contre un risque potentiel de froid ou de pluie. (Vous pouvez adapter cette activité en montrant divers objets qui sont des solutions à des problèmes potentiels.) Écrivez les titres suivants au tableau :
Situations que nous subissons Solution préparée à l’avance
Citez d’autres exemples de solutions qui peuvent être préparées avant qu’une certaine situation ne se produise.
Expliquez aux élèves qu’en étudiant Moïse 4, ils vont découvrir certaines des situations difficiles qu’ils vont rencontrer dans la vie. Ils découvriront également la solution que notre Père céleste a préparée pour les aider à vaincre ces difficultés.
Rappelez aux élèves que, dans notre vie prémortelle, avant de naître sur terre, nous avons appris que notre Père céleste avait un plan de bonheur et qu’il faudrait un Sauveur pour mener à bien ce plan. Lucifer, l’un des enfants d’esprit de notre Père céleste, s’est rebellé contre le plan de Dieu. Il est bien connu sous le nom de Satan.
Demandez à un élève de lire à haute voix Moïse 4:1. Demandez à la classe de suivre en relevant ce que Satan exige de notre Père céleste.
Qu’est-ce que Satan exige de notre Père céleste ?
Faites remarquer l’usage répété des mots je et moi au verset 1. Vous pourriez demander aux élèves de marquer ces mots.
Que nous apprend cette utilisation que fait Satan des mots je et moi au verset 1 ?
Demandez à un élève de lire Moïse 4:2 à haute voix, et demandez à la classe de chercher ce que Jésus-Christ dit à notre Père céleste.
Quelles sont les différences entre les propos de Jésus-Christ au verset 2 et ceux de Satan au verset 1 ?
D’après le verset 2, que dit notre Père céleste au sujet de Jésus-Christ ? (Il a été choisi dès le commencement.)
Jésus-Christ a été choisi pour faire quoi ? (Lorsque les élèves ont répondu, notez le point de doctrine suivant au tableau, sous le titre « Solution préparée à l’avance » : Jésus-Christ a été choisi dans l’existence prémortelle pour être le Rédempteur de l’humanité.)
Demandez à un élève de lire à haute voix Moïse 4:3-4. Demandez aux autres de suivre en cherchant ce que ces versets nous enseignent au sujet de Satan.
D’après le verset 3, citez deux choses que Satan a faites qui l’ont fait chasser du ciel.
D’après le verset 4, comment Satan cherche-t-il à prendre le contrôle sur nous ? (Les élèves peuvent employer des mots différents, mais ils doivent dégager la vérité suivante : Satan cherche à nous tromper et à nous aveugler afin de nous mener captifs à sa volonté. Notez cette vérité au tableau sous « Situations que nous subissons ».)
Adam et Ève mangent du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal
Résumez Moïse 4:5-11 en expliquant que le Seigneur qualifie symboliquement Satan de serpent et enseigne que Satan a « essay[é] de détruire le monde » en tentant Adam et Ève dans le jardin d’Éden (verset 6).
Demandez à un élève de lire Moïse 3:16-17 à haute voix. Demandez à la classe de suivre en cherchant le choix donné à Adam et Ève dans le jardin d’Éden.
D’après Moïse 3:17, que se produirait-il si Adam et Ève choisissaient de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ?
Que se produirait-il si Adam et Ève choisissaient de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ? (Ils resteraient à tout jamais dans le jardin d’Éden. Voir 2 Néphi 2:22.)
Rappelez aux élèves qu’avant que le Seigneur n’explique à Adam et Ève les choix énoncés dans Moïse 3:16-17, il leur avait donné un commandement de grande importance.
Quel était le premier commandement que le Seigneur avait donné à Adam et Ève ? (D’avoir des enfants [voir Moïse 2:28].)
Pour faire comprendre aux élèves l’importance de ce commandement, demandez à l’un d’eux de lire à voix haute cette citation de Dallin H. Oaks, du Collège des douze apôtres :
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Dallin H. Oaks
« Le Seigneur a dit au premier homme et à la première femme : ‘Soyez féconds, multipliez’ (Moïse 2:28 ; voir aussi Genèse 1:28 ; Abraham 4:28). Ce commandement était le premier dans l’ordre et le premier en importance. Il était essentiel que les enfants spirituels de Dieu viennent au monde et aient l’occasion de progresser vers la vie éternelle » (« Le grand plan du bonheur », L’Étoile, janvier 1994, p. 82-83).
Pourquoi le commandement d’avoir des enfants était-il si important ?
Quel choix Adam et Ève devaient-ils faire pour obéir au commandement du Seigneur d’avoir des enfants ? (Ils devaient choisir de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Voir 2 Néphi 2:22-23.)
Demandez à un élève de lire à haute voix Moïse 4:12. Demandez aux autres de suivre en cherchant ce qu’Ève et Adam ont choisi de faire.
Expliquez que nous appelons la conséquence du choix d’Adam et d’Ève de prendre du fruit défendu « la Chute ».
Adam et Ève découvrent les conséquences de la Chute
Demandez aux élèves de travailler par deux. Demandez-leur de lire ensemble Moïse 4:13-14, 22-25 en y cherchant les conséquences de la chute d’Adam et Ève. Vous pourriez proposer aux élèves de marquer dans leurs Écritures les conséquences qu’ils trouvent.
Quelles sont les conséquences de la Chute ?
Quel point de doctrine nous apprend l’expression « tu mourras » au verset 25 ? (Les élèves peuvent employer des mots différents, mais il doivent relever un point de doctrine similaire à celui-ci : À cause de la Chute, tout le genre humain est sujet à la mort physique. Notez ce point de doctrine au tableau sous « Situations que nous subissons ».)
Faites remarquer que, parce que notre corps est mortel, ou sujet à la mort physique, nous subissons d’autres conséquences de la Chute avant de mourir, telles que les imperfections physiques et la souffrance. Ajoutez imperfections physiques et souffrance au tableau, sous « Situations que nous subissons ».
Quelles sont les autres conséquences de la Chute que nous subissons parce que notre corps est mortel ? (Ajoutez les réponses des élèves au tableau, sous « Situations que nous subissons ». On pourrait mentionner les blessures et la maladie.)
Vous pourriez attirer l’attention sur certaines conséquences supplémentaires de la Chute. Si Adam et Ève n’avaient pas mangé du fruit, ils n’auraient pas eu la possibilité d’avoir des enfants dans la condition mortelle. Nous n’aurions donc pas pu venir sur la terre pour recevoir un corps physique, être éprouvés et nous préparer pour la vie éternelle, ce qui aurait contrarié le plan du salut.
Expliquez que, dans le jardin d’Éden, il y avait un autre arbre important appelé l’arbre de vie. Demandez à un élève de lire à haute voix Moïse 4:28. Demandez à la classe de suivre en cherchant ce que le Seigneur dit qu’il se produira si Adam et Ève mangent du fruit de l’arbre de vie après avoir mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Que se serait-il produit si Adam et Ève avaient mangé du fruit de l’arbre de vie après avoir mangé du fruit défendu ? (Ils auraient vécu à jamais dans leurs transgressions, sans possibilité de repentir et de progression.)
Vous pourriez préciser que si « [Adam et Ève] avaient vécu à jamais, […] n’ayant aucun temps pour se repentir ; […] le grand plan de salut aurait été contrarié » (Alma 42:5).
Demandez à un élève de lire à haute voix Moïse 4:29-31. Demandez à la classe de suivre en cherchant ce que le Seigneur a fait pour empêcher Adam et Ève de prendre du fruit de l’arbre de vie. Demandez-leur de dire ce qu’ils ont trouvé. Vous pourriez expliquez que le mot chérubins désigne des « figures représentant des créatures célestes. Leur forme exacte est inconnue » (Guide des Écritures, « chérubins »).
Faites remarquer qu’une fois chassés du jardin d’Éden, Adam et Ève n’étaient plus en présence de Dieu (voir Moïse 5:4).
Comment appelle-t-on le fait d’être séparé de la présence de Dieu ? (La mort spirituelle.)
Quel point de doctrine relatif à la Chute apprenons-nous aux versets 29 et 31 ? (Lorsque les élèves ont répondu, notez le point de doctrine suivant au tableau sous « situations que nous subissons » : À cause de la Chute, tout le genre humain connaîtra la mort spirituelle.)
Pour faire comprendre la doctrine de la mort spirituelle aux élèves, demandez à l’un d’eux de lire cette citation de Earl C. Tingey, des soixante-dix :
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Earl C. Tingey
« Actuellement, nous sommes tous en état de mort spirituelle. Nous sommes séparés de Dieu. Il demeure aux cieux ; nous vivons ici-bas. Nous aimerions retourner à lui » (« Le grand plan du bonheur », Le Liahona, mai 2006, p. 73).
Vous pourriez demander aux élèves de noter dans leur carnet de classe ou leur journal d’étude des Écritures une ou deux manières dont ils ont personnellement subi les conséquences de la Chute. Pour les aider à commencer, vous pourriez leur proposer de décrire la mort d’un être cher, une maladie ou l’effet que cela leur fait d’être séparés de leur Père céleste.
Vous pourriez demander à un ou deux élèves de dire aux autres ce qu’ils ont écrit. Vous devrez peut-être expliquer aux élèves qu’ils ne doivent pas raconter d’expériences qui soient trop personnelles ou intimes.
Quelle est la solution que notre Père céleste a préparée pour que nous vainquions la mort physique et la mort spirituelle ?
Attirez leur attention sur le point de doctrine que vous avez noté au tableau au début du cours : Jésus-Christ a été choisi dans l’existence prémortelle pour être le Rédempteur de l’humanité. Demandez si des élèves aimeraient témoigner de ce point de doctrine et de la raison pour laquelle il est important pour eux. Vous pourriez aussi faire part de vos sentiments sur ce sujet.
Expliquez aux élèves que, dans la prochaine leçon, ils en apprendront davantage sur le plan de rédemption de notre Père céleste préparé par l’intermédiaire de son Fils Jésus-Christ.
Commentaire et contexte
Moïse 4 Le choix d’Adam et d’Ève de manger du fruit défendu
Joseph Fielding Smith a résumé le choix présenté à Adam et Ève dans le jardin d’Éden :
« Le Seigneur a dit à Adam, voici l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Si tu veux rester ici, tu ne dois pas manger de ce fruit. Si tu veux rester ici, je t’interdis d’en manger. Mais tu peux agir par toi-même et en manger si tu veux. Et si tu en manges, tu mourras » (« Fall—Atonement—Resurrection—Sacrament » [discours prononcé le 14 janvier 1961 au LDS Institute of Religion à Salt Lake City, Utah]).
Le Seigneur a déclaré : « Tu peux choisir par toi-même » (Moïse 3:17), ce qui signifie que la Chute devait être le résultat d’un choix humain.
Jeffrey R. Holland, du Collège des douze apôtres, a enseigné :
« Élohim [notre Père céleste] ne pouvait certainement pas chasser des innocents hors du jardin et rester malgré tout un Dieu juste. […]
« […] Adam et Ève, et nous, avons, en connaissance de cause et avec amour acquitté Dieu de la responsabilité des « épines et des ronces » d’un monde déchu qui a été non pas imposé capricieusement par lui mais personnellement choisi par nous » (Christ and the New Covenant: The Messianic Message of the Book of Mormon, 1997, p. 203, 204).
Dallin H. Oaks, du Collège des douze apôtres, a expliqué :
« Pour des raisons qui n’ont pas été révélées, cette transition, ou ‘chute’, ne pouvait se faire sans qu’il y ait transgression, un exercice du libre-arbitre équivalent à la violation délibérée d’une loi (voir Moïse 6:59). Ce devait être une infraction planifiée, une formalité visant à atteindre un objectif éternel […]
Ce fut Ève qui fut la première à transgresser les limites fixées en Éden pour déclencher l’état mortel. Son geste, quelle qu’en ait été la nature, était techniquement une transgression, mais, sous l’angle de l’éternité, était une glorieuse nécessité pour ouvrir la porte de la vie éternelle. Adam a montré sa sagesse en faisant la même chose. Et ainsi Ève et ‘Adam tomb[èrent] pour que les hommes fussent’ (2 Néphi 2:25).
« Certains chrétiens condamnent Ève pour ce qu’elle a fait et en déduisent qu’elle et ses filles en subissent d’une certaine façon la tare. Pas les saints des derniers jours ! Informés par la révélation, nous acclamons le geste d’Ève et honorons sa sagesse et son courage dans ce grand épisode qui est appelé la Chute (voir Bruce R. McConkie, « Eve and the Fall », Woman, Salt Lake City, Deseret Book Co., 1979, p. 67-68). Joseph Smith a enseigné que ce n’était pas un ‘péché’ parce que c’était Dieu qui l’avait décrété (voir The Words of Joseph Smith, éd. Andrew F. Ehat et Lyndon W. Cook, Provo, Utah : Religious Studies Center, Université Brigham Young, 1980, p. 63). Brigham Young a dit : ‘Nous ne devons blâmer en rien notre mère Ève’ (dans Journal of Discourses, 13:145). Joseph Fielding Smith a dit : ‘Je n’appelle jamais la participation d’Ève dans cette chute un péché, et je n’accuse pas non plus Adam de péché. […] C’était une transgression de la loi, mais pas un péché […] parce que c’était quelque chose qu’Adam et Ève devaient faire !’ (voir Joseph Fielding Smith, Doctrines du Salut, comp. Bruce R. McConkie, 3 vols., Salt Lake City: Bookcraft, 1954-1956, 1:115-116) » (« Le grand plan du bonheur »,L’Étoile, novembre 1993, p. 83).
Orson F. Whitney, du Collège des douze apôtres, a enseigné :
« La Chute va dans deux directions, vers le bas mais aussi vers l’avant. Elle a amené l’homme dans le monde et l’a déposé sur la grande route de la progression (Cowley and Whitney on Doctrine, comp. Forace Green, 1963, p. 287).
Bruce R. McConkie, du Collège des douze apôtres, a expliqué que la mort n’existait pas sur la terre avant la chute d’Adam et Ève :
« La condition mortelle, la procréation et la mort ont toutes commencé par la Chute […]
« […] Un Créateur infini, au jour primordial, a fait la terre, l’homme et toutes formes de vie dans un état tel qu’ils pouvaient déchoir. Cette chute entraîna un changement d’état. Toutes les choses furent créées de manière à ce qu’elles puissent chuter ou changer […]
« […] Dans les premiers jours, ceux de l’Éden, toutes les formes de vie étaient dans un état supérieur et différent de celui qui règne aujourd’hui. […] Il restait encore à la mort et à la procréation de faire leur entrée dans le monde » (« Christ and the Creation », Ensign, juin 1982, p. 9).
Satan signifie « le calomniateur » (Bible Dictionary, « Satan »). « Le mot anglais diable dans la [version du roi Jacques de la Bible] est employé pour représenter divers mots grecs (calomniateur, démon et adversaire) et hébreux (gâcheur) » (Bible Dictionary, « Devil »).
Avant sa rébellion, Satan s’appelait « Lucifer, un fils du matin » (D&A 76:26) et était « un ange de Dieu, qui détenait de l’autorité en la présence de Dieu » (D&A 76:25). Dans la vie prémortelle, Lucifer voulut avoir la position d’aîné de Jésus-Christ, le Premier-né du Père (voir D&A 76:25 ; 93:21), sachant que Jésus serait héritier du trône de Dieu le Père éternel. Il justifiait sa prétention de mériter la position de Premier-né en affirmant qu’il ne perdrait aucun des enfants d’esprit de Dieu (voir Moïse 4:1-3). La proposition de Lucifer de racheter l’humanité n’était ni innocente ni altruiste, c’était un acte de rébellion contre Dieu par lequel il cherchait à obtenir des partisans (voir D&A 29:36-37).
Joseph Smith, le prophète, a enseigné :
« Dans la dispute qui a eu lieu dans les cieux, Jésus a dit que certaines âmes ne seraient pas sauvées alors que le diable disait qu’il les sauverait toutes, et il a exposé son plan devant le grand conseil, qui a voté en faveur de celui de Jésus-Christ. Le diable s’est rebellé contre Dieu et a été rejeté avec tous ceux qui l’ont soutenu » (Enseignements des présidents de l’Église: Joseph Smith, 2007, p. 223).
Dallin H. Oaks, du Collège des douze apôtres, a expliqué :
« Le plan du Père […] offrait une véritable possibilité à ses enfants d’esprit d’atteindre ce qu’il désirait pour eux, l’immortalité et la vie éternelle […]
« Dans l’amendement proposé, Lucifer faisait [uniquement] semblant de rechercher le même résultat. [Contrairement à Jésus-Christ (le Fils bien-aimé prémortel, qui cherchait à promouvoir l’œuvre et la gloire du Père), Lucifer cherchait à s’approprier le pouvoir du Père] » (The Lord’s Way, 1991, viii ; le texte entre crochets est tiré de la note du bas de la page citée).
Jeffrey R. Holland, du Collège des douze apôtres, énonce, au sujet de Satan, deux vérités dont il est important de nous souvenir :
« Premièrement, Satan ou Lucifer ou le père du mensonge, qu’on l’appelle comme on veut, est réel, la personnification même du mal. Dans chaque cas, ses intentions sont malveillantes et il est pris de convulsions à l’apparition de la lumière rédemptrice, à l’idée même de la vérité. Deuxièmement, il est éternellement opposé à l’amour de Dieu, à l’Expiation de Jésus-Christ et à l’œuvre de paix et de salut. Il les combat quand et où il le peut. Il sait qu’il sera vaincu et rejeté à la fin, mais il est résolu à emmener dans sa destruction autant de personnes qu’il le peut » (Voir « Nous voici tous enrôlés », Le Liahona, novembre 2011, p. 44).
Moïse 4:9. « Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez »
Le Seigneur n’a pas révélé la nature du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ni donné de détails sur le processus exact qui a rendu Adam et Ève mortels.