« Nous remercions notre Père céleste pour des bénédictions que ce temple et tous les autres temples apportent dans notre vie », a dit le président Monson lors du spectacle culturel précédant la récente reconsécration du temple de Laie (Hawaï, États-Unis) le dimanche 21 novembre. 21. Il a dit que le temple « brille comme un phare qui guide vers la justice toutes les personnes qui suivent sa lumière ».
Des prophètes et des apôtres sont présents toutes les fois qu’on consacre un temple. Généralement, le président de l’Église, ou l’un de ses conseillers sous sa direction, fait la prière qui consacre le bâtiment en tant que Maison du Seigneur. Des prophètes et des apôtres participent aussi à l’approbation des emplois où les temples seront situés et à l’appel des présidents de temple. Ils encouragent l’assistance au temple dans toute l’Église. Dans ce cas, il s’agissait de la reconsécration d’un temple après une rénovation considérable.
Au cours de trois sessions de consécration, le président Monson a prononcé un discours et a fait la prière de consécration. Henry B. Eyring, premier conseiller dans la Première Présidence de l’Église, a dirigé les sessions et a prononcé un discours. Étaient aussi présents Quentin L. Cook, du Collège des douze apôtres, et William R. Walker, des soixante-dix, qui est le directeur exécutif du département du temple.
Un spectacle culturel a eu lieu la veille de la consécration et le président Monson a promis aux deux mille artistes participant au programme qu’ils seraient récompensés pour leurs efforts.
« Vous avez, vous et vos dirigeants, consacré de longues, longues heures à la préparation de cette soirée. Vous vous êtes peut-être demandé quelquefois si le résultat final vaudrait tous les efforts fournis. J’assure chacun de vous que tout effort que vous avez accompli sera récompensé à maintes reprises. »
Le président Eyring a dit qu’il a observé le président Monson communiquer avec les gens au cours de la consécration :
« Je pense qu’il n’est pas passé près d’une personne qu’il pouvait toucher sans serrer une main, sourire ou caresser la tête d’un enfant. Il a été juste remarquable. « Il était là où il aime se trouver, parmi les gens. Ils les aiment et les gens l’aiment. On pouvait le ressentir partout où nous allions. »
Le président Eyring a aussi déclaré : « Les saints d’ici ont une telle foi qu’elle faisait tout briller. Le spectacle culturel a été sans pareil, essentiellement parce que les jeunes et les familles ont dû y consacrer des heures. C’était plus que professionnel, c’était céleste. »
