Jésus enseigne à ses disciples qu’il faut pardonner aux autres. Après cela, les apôtres demandent à Jésus d’augmenter leur foi. En réponse, le Sauveur enseigne la parabole du serviteur inutile. Plus tard, Jésus guérit dix lépreux, mais un seul revient le remercier. Le Sauveur est confronté aux pharisiens. Il parle de la venue du royaume de Dieu.
Les apôtres demandent à Jésus d’augmenter leur foi
Pense à des situations qui pourraient exiger que tu fasses preuve de foi, par exemple lorsque tu dois demander une bénédiction de la prêtrise, payer la dîme, faire un discours ou donner une leçon à l’Église. Note ta liste dans ton journal d’étude des Écritures. Réponds ensuite aux questions suivantes : As-tu déjà eu envie d’avoir une plus grande foi ? Si c’est le cas, quelles expériences as-tu vécues qui ont suscité ce désir ?
Pendant que tu étudies Luc 17, relève les principes qui peuvent t’aider à augmenter ta foi.
Luc 17:1-2 rapporte que le Sauveur enseigne à ses disciples que celui qui tente quelqu’un pour qu’il pèche sera tenu pour responsable.
Lis Luc 17:3-4 en y cherchant le commandement donné par le Sauveur à ses disciples qui pourrait nécessiter de la foi. Tu pourrais marquer ce commandement dans tes Écritures.
Pourquoi pourrait-il être difficile de pardonner à quelqu’un qui nous a fait du mal de façon répétée.
Lis Luc 17:5 en y cherchant ce que les apôtres désirent du Sauveur après son enseignement sur le pardon.
En quoi le fait de chercher à avoir davantage foi au Seigneur peut-il les aider à obéir au commandement de pardonner aux autres ?
Comme le rapporte Luc 17:6, le Sauveur répond à la requête des apôtres d’avoir plus de foi en témoignant que la foi de la taille d’un grain de sénevé peut produire des miracles. Pour les aider à savoir comment développer leur foi, Jésus leur raconte alors une parabole décrivant la relation entre un maître et son serviteur.
Lis Luc 17:7-10 en y cherchant ce que le Maître attend de son serviteur.
À l’époque biblique, un maître subvenait à tous les besoins de son serviteur tant que celui-ci accomplissait ce qui était attendu de lui. Ainsi, le maître n’avait pas besoin d’être particulièrement reconnaissant envers son serviteur ou de se sentir redevable envers lui pour l’accomplissement de ses responsabilités.
Demande-toi en quoi notre Père céleste est comme le maître de cette parabole.
Dans Luc 17:10, tu pourrais marquer l’expression « fait tout ce qui vous a été ordonné ».
Écris ce qui suit dans ton journal d’étude des Écritures : Notre foi augmente lorsque nous nous efforçons de faire tout ce que notre Père céleste commande. Tu compléteras cette affirmation plus tard.
Dans Luc 17:10, tu pourrais marquer ce que les serviteurs doivent dire après avoir fait ce qui leur a été commandé.
Reconnaître que nous sommes des serviteurs inutiles signifie que nous reconnaissons que même si nous respectons bien les commandements, nous sommes toujours redevables à Dieu. Il nous bénit avec tant de générosité que nous ne pouvons jamais le lui rendre, même lorsque nous sommes obéissants et faisons le bien (voir Mosiah 2:20-26).
Complète la phrase que tu as notée dans ton journal d’étude des Écritures afin qu’elle exprime le principe suivant : Notre foi augmente lorsque nous nous efforçons de faire tout ce que notre Père céleste commande et lorsque nous nous souvenons que nous lui sommes toujours redevables. Réponds ensuite à la question suivante : Comment le fait de nous efforcer de faire tout ce que Dieu commande augmente-t-il notre foi ?
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Heber J. Grant
Le Président Grant a enseigné l’importance de faire notre devoir en servant Dieu : « Nul, homme ou femme, ne risque de perdre sa foi en cette Église s’il est humble, adonné à la prière et obéissant dans l’accomplissement de ses devoirs. Je n’ai jamais vu une telle personne perdre sa foi. Lorsque nous nous acquittons de nos responsabilités, notre foi se développe jusqu’à devenir une connaissance parfaite » (Enseignements des présidents de l’Église, Heber J. Grant, 2002, p. 29).
Pense à une occasion où tu as respecté les commandements ou accompli ton devoir envers Dieu avec obéissance et ressenti une augmentation de ta foi à la suite de cela.
D’après ce que tu sais de la lèpre, termine la phrase suivante : À l’époque biblique, il était difficile d’avoir la lèpre parce que .
La lèpre est une maladie qui peut défigurer et entraîner la mort. Les lépreux étaient séparés du reste de la société pour protéger la santé des autres, et ils devaient crier de loin « Impur ! » afin d’avertir quiconque s’approchait d’eux (voir le Guide des Écritures, « Lèpre »).
Lis Luc 17:11-12 en y cherchant qui Jésus rencontre lorsqu’il s’arrête à un village pendant qu’il fait route vers Jérusalem.
Si tu avais été un de ces lépreux, qu’aurais-tu éprouvé en voyant Jésus ?
Lis Luc 17: 13-14 en y cherchant ce que les lépreux disent au Sauveur et ce qu’il leur répond.
La loi de Moïse exigeait que les lépreux guéris se montrent aux sacrificateurs afin d’être de nouveau admis dans la société (voir Lévitique 14). Tu pourrais marquer dans tes Écritures ce qui arrive pendant que les lépreux vont se montrer au sacrificateur.
Luc 17:14 nous apprend que nous recevons les bénédictions du Seigneur lorsque nous faisons ce qu’il nous commande.
Demande-toi comment ta vie aurait changé si tu avais été un des lépreux qui ont été guéris. Qu’aurais-tu fait une fois que tu aurais compris que tu étais guéri de la lèpre ?
Lis Luc 17:15-19 en y cherchant comment un des lépreux réagit différemment des autres.
Le lépreux qui est revenu remercier nous apprend qu’il est important d’exprimer notre reconnaissance pour les bénédictions que nous recevons.
À ton avis, pourquoi est-il important d’exprimer notre reconnaissance à Dieu pour les bénédictions que nous recevons ?
En quoi ressemblons-nous parfois aux neuf lépreux ?
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Thomas S. Monson
Pendant que tu lis la citation suivante du président Monson, marque ce qui va arriver lorsque nous exprimons notre reconnaissance à notre Père céleste : « Mes frères et sœurs, nous souvenons-nous de remercier pour les bénédictions que nous recevons ? Lorsque nous remercions sincèrement, non seulement cela nous aide à prendre conscience de nos bénédictions mais cela ouvre aussi les portes des cieux et nous aide à ressentir l’amour de Dieu » (« Le don divin de la reconnaissance », Le Liahona, novembre 2010, p. 87).
Dans Luc 17:19, tu pourrais marquer ce qui, selon les paroles du Sauveur, est arrivé au lépreux qui a remercié.
Comment le fait de remercier le Seigneur pour nos bénédictions peut-il nous aider à nous purifier ?
Dans ton journal d’étude des Écritures, note les bénédictions particulières de notre Père céleste pour lesquelles tu es reconnaissant. Fais la liste des choses que tu peux faire pour montrer ta reconnaissance pour ces bénédictions.